Shūsei Tokuda

Shūsei Tokuda
Tokuda Shūsei
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata
KanazawaVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 71 ans)
Arrondissement de Hongō (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Cimetière de Kodaira (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom dans la langue maternelle
徳田秋声Voir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
japonaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
École municipale de Baba (d)
Quatrième lycée (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Romancier, écrivainVoir et modifier les données sur Wikidata
Période d'activité
à partir de Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
Kazuho Tokuda (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
HakubunkanVoir et modifier les données sur Wikidata
Membre de
Kenyūsha
The Japan P.E.N Club (d)
Académie japonaise des artsVoir et modifier les données sur Wikidata
Maître
Distinction
Prix Kan-KikuchiVoir et modifier les données sur Wikidata
Œuvres principales
Une femme indomptable, Kanshōteki no Koto (d), Hikari o Ōte (d), EpitomeVoir et modifier les données sur Wikidata

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Shūsei Tokuda (japonais 徳田 秋声; à Kanazawa sous le nom Tokuda Sueo (徳田 末雄) - à Tokyo) est un romancier et écrivain japonais.

Biographie

Issu d'une famille de la noblesse féodale d'antan, Tokuda écrit d'abord des histoires traditionnelles. Il est avec Tōson Shimazaki, Katai Tayama et Hakuchō Masamune, l'un des principaux représentants du naturalisme japonais. Avec la fin du naturalisme vers 1910, sa productivité littéraire s'amenuise. Ce n'est qu'à partir de 1920 qu'il attire de nouveau l'attention par des récits psychologiques (romans « je »).

Plusieurs de ses romans ont été adaptés au cinéma au Japon. Un monument honorant Tokuda est érigé près du sommet du mont Utatsu en 1947.

Liste des œuvres traduites en français

  • Les Lèvres sèches (Kawaita kuchibiru), dans Anthologie de la littérature japonaise contemporaine (p. 171-185), Xavier Drevet, 1924.
  • Le Dancing de la ville (Machi no odoriba), dans Anthologie de nouvelles japonaises contemporaines (Tome II), nouvelle traduite par Olivier Jamet, Gallimard, 1989.
  • La Serviette de cuir (Ori-kaban), dans Les Noix La Mouche Le Citron et dix autres récits de l'époque Taishô, nouvelle traduite par Claude Péronny, Le Calligraphe / Picquier, 1986 ; Anthologie de nouvelles japonaises Tome I - 1910-1926 Les Noix La Mouche Le Citron, Picquier Poche, 1999.

Source de la traduction

  • (de)/(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu des articles intitulés en allemand « Tokuda Shūsei » (voir la liste des auteurs) et en anglais « Shūsei Tokuda » (voir la liste des auteurs).
  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • VIAF
    • ISNI
    • BnF (données)
    • IdRef
    • LCCN
    • GND
    • Italie
    • Japon
    • CiNii
    • Pays-Bas
    • Israël
    • NUKAT
    • Corée du Sud
    • WorldCat
  • icône décorative Portail de la littérature
  • icône décorative Portail du Japon